18 janvier 2009
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Analyse
Une trilogie intime : de l’exploration à la réconciliation
Par Sandrine Meslet
Comment grandir dans la conscience de sa différence et de son isolement dans l’Algérie des années 70 ? Nina Bouraoui trouve une réponse à cette question dans le partage de cette scission de l’intime avec un ami, Amine, auquel le roman Garçon manqué (2000) est entièrement adressé. Cette longue déclaration narrative à la première personne est une nouvelle occasion pour l’auteur de revenir sur la difficile question de l’identité algérienne et, par le choix d’un style saccadé et révolté... Pour lire la suite sur notre nouveau blog, cliquer ici
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Dossier n° 40 : Nina Bouraoui
2 septembre 2007
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Mes mauvaises pensées : écriture de la vie, récit de morts
Par Ali Chibani
Quand Nina Bouraoui écrit : Mes mauvaises pensées (éd. Stock, 2005), nous comprenons : « mes mauvais démons ». Dans un récit prenant et haletant, l’écrivain franco-algérien Nina Bouraoui règle ses comptes avec son passé, les morts qui lui pèsent et rompt les liens avec les morts qu’elle a ratées et qui la hantent encore. Mes mauvaises pensées, prix Renaudot 2005, est une tempête de révélations faite par une narratrice qui ne maîtrise plus ses souvenirs et ses obsessions au point de livrer une parole libérée des exigences de la conscience mais soumise aux caprices de l’inconscient : une lave ravageuse et.... Pour lire la suite de l'article sur notre nouveau blog, cliquer ici
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