Chronique
Trop de soleil tue l'amour de Mongo Beti
« Un journaliste enamouré en danger »
par Cécilia Cudorge, enseignante
Une lecture superficielle de Trop de soleil tue l'amour [1] du camerounais Mongo Beti conduirait à qualifier le texte de roman policier. Certes, c'est à cela qu'il s'apparente mais il ne faudrait pas s'y méprendre : cette classification nous semble somme toute arbitraire. On pourrait aussi à tort imaginer un roman d'amour avec ce titre prometteur qui associe soleil et amour. Une fois de plus, pas de précipitation, l'association n'annonce rien de glamour puisque les deux mots s'unissent par le verbe « tuer ». Roman policier empreint de passion malheureuse ? Voyons cela de plus près.
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