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Analyse
Rêves sous le linceul
Par Célia Sadai
« Je viens ô mère, mûr comme le crépuscule, lourd des souffrances du jour, je suis l’enfant tanné par le remords et qui prie la clémence de l’oubli. »[1]
L’écrivain malgache J.-L. Raharimanana publie Rêves sous le linceul en 1998. Le titre projette un univers apocalyptique restitué dans un recueil de formes brèves. Nouvelles, aphorismes, haïku…sont autant de fragments qui servent un discours brut et pamphlétaire sur Lire la suite de l'article ici