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La Plume francophone présente et analyse les littératures francophones à travers des études par auteurs et par thèmes.

Albert Cohen, Belle du Seigneur

Analyse

 

Les caractères d’Albert Cohen dans Belle du Seigneur

par Sandrine Meslet

 

                                                                                             

blog-belle-du-seigneur.jpgLe roman Belle du Seigneur paraît en 1968 aux éditions Gallimard et obtient le Grand Prix de L’Académie Française. Face à ce « roman-somme », dont la durée de rédaction s’étend sur près de trente ans et qui a été rédigé en pas moins de quatre manuscrits, les caractères jouent un rôle déterminant dans la cohésion et la progression du roman. Leur évolution, mais aussi leur régression, laisse apparaître une humanité carnavalesque, dénuée de naturel, entièrement tournée vers le grotesque et la parodie. Mais la médiocrité peinte par Cohen est... Pour lire la suite de cet article sur notre nouveau blog, cliquer ici

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J
Il me semble que "caractère" est utilisé dans votre commentaire comme synonyme de "personnage" : n'est-ce pas un anglicisme ?D'autre part vous ne mentionnez pas le style particulier de "Belle du Seigneur", très "nouveau roman" : absence de ponctuation par exemple dans de longs passages, ce qui rend la lecture particulièrement ardue par endroits.Enfin, mais c'est très personnel, certains passages très longs apportent peu à la démonstration de l'auteur. J'imagine que cette lourdeur était intentionnelle de sa part, mais, là encore, plus d'un lecteur pourrait être rebuté par ces longueurs...
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L
<br /> Cher John,<br /> <br /> Pardonnez moi de n'avoir pas répondu plus tôt à votre commentaire. Vous avez raison de mettre l'accent sur l'ambiguité qui réside autour du substantif "caractère", en fait je faisais plus allusion<br /> ici à son acception dix-septièmiste. Mon article tendait plutôt à montrer le parallèle entre la constitution des caractères chez La Bruyère et chez Albert Cohen. Bien que ce roman apparaisse sous<br /> bien des angles "Nouveau Roman" il contient également de nombreux indices d'un classicisme exacerbé (cela est visible entre autre dans son appréhension des personnages).<br /> <br /> Merci pour votre commentaire et à très vite, <br /> <br /> Merci également à Marcel pour le lien, nous sommes flattés de l'intérêt que vous portez à notre travail.  <br /> <br /> <br />
M
Bonjourj'ai mis un lien de votre tres beau site sur le mien a la page d' Albert Cohena bientot
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C
bon article, dommage cependant de ne pas évoquer ce qui rend le livre si difficile à lire pour les non-initiés, à savoir les digressions incessantes sur les valeureux, qui n'apportent rien d'autre à nos yeux que de la confusion.
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C
merci sandrine, je viens de lire l'article, comme une initiation à albert cohen pour moi... merci merci!cam
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